lundi 16 mai 2011

Les Afriques | La banque du futur déjà à l’horizon | le journal de la finance Africaine

Les Afriques | La banque du futur déjà à l’horizon | le journal de la finance Africaine: "La banque du futur déjà à l’horizon Version imprimable

Une banque-opérateur télécoms ou un opérateur télécom-banque relié à ses bases de données situées à l’autre bout de la planète par un puissant routeur et qui permet à son client d’aller au restaurant, de payer ses factures, ses impôts, de transférer de l’argent ou d’effectuer des versements. Le tout via un terminal mobile. C’est le principe de la banque virtuelle, mais bien réelle, qui ne fait plus tellement partie du futur.

A l’avenir, le banquier pourrait payer cash son attentisme en servant de simple support réglementaire et technique à un produit émanant de l’opérateur téléphonique.
A l’avenir, le banquier pourrait payer cash son attentisme en servant de simple support réglementaire et technique à un produit émanant de l’opérateur téléphonique.

Les nouvelles technologies poursuivent leur développement dans le secteur bancaire. C’est le constat qui se dégageait lors du salon Carte Afrique, tenu à Marrakech du 20 au 23 avril et qui a vu 400 fournisseurs de technologies bancaires, des consultants et des banquiers discuter de l’avenir. L’avenir est plutôt dans l’externalisation des services informatiques. « Le banquier n’a pas à gérer des serveurs et des outils informatiques compliqués », relève Maya Bashir Damer, de CSC Bank Sal, structure basée en Egypte et qui propose aux banques de gérer tout le support technique de la décision bancaire. Attention, prévient Maya Damer, « l’outil informatique ne remplace pas le banquier. Ce sera toujours à lui que reviendra la décision de prendre ou non des risques en acceptant le client qui veut retirer un montant à partir d’un GAB. »

La tendance lourde

Si l’usage du cloud computting (infogérance), qui permet au banquier équipé d’un routeur de gérer à distance sa plateforme technologique, constitue la tendance lourde du secteur, il convient de rappeler toutefois que certaines banques préfèrent, pour des raisons « stratégiques », gérer en interne toute la technologie informatique bancaire.

Les banques n’arrivent pas à accéder à certaines solutions technologiques verouillées par les opérateurs télécoms, car ces derniers veulent prendre le lead. Ce sont eux qui disposent du réseau de clients.

D’autres fournisseurs proposent aux banques d’externaliser tous les services dits de routine : « Ce n’est pas à la banque de gérer l’authentification des billets et des pièces fournies. C’est du temps perdu », relève Patrice Pochard, de Syrse International, qui propose des GAB multifonctionnels qui permettent aux clients, type grande distribution, d’effectuer des paiements et de régler tous les services d’une agence bancaire classique en dehors de celui relevant de l’engagement à accorder ou non un crédit. Cette révolution permettra à l’agencier de se concentrer sur le cœur d’un métier en révolution. Il est possible que dans quelques années la notion de client bancaire soit différente de celle que nous connaissons aujourd’hui.

A chacun son rôle

Les banques n’arrivent pas à accéder à certaines solutions technologiques verouillées par les opérateurs télécoms, car ces derniers veulent prendre le lead. Ce sont eux qui disposent du réseau de clients. Il y a une phase intermédiaire qui pousse certaines banques à opter pour l’usage de technologies alternatives. Les institutions qui font de la monétique depuis 20 ans s’adapteront vite. Mais sans standardisation, ce sera toujours difficile.

En Afrique, il y a un flou juridique total sur cette nouvelle offre basée sur le mobile. Toutes les solutions juridiques ne couvrent pas la monnaie électronique. Récemment, certaines banques centrales ont élargi leurs dispositions. Pour autant, la crainte entre la banque et son opérateur susbiste. La première a peur que son portefeuille clients soit aux mains de l’opérateur. Du coup, en Afrique, c’est le paiement par SMS qui a tendance à s’imposer.

La Banque centrale de Tunisie tranche en disant récemment dans une circulaire que les opérateurs n’ont pas le droit de collecter de l’argent.

A chacun son rôle.

Le partage des commissions Il y aura un business model à établir dans le partage des commissions. Dans certaines régions, les opérateurs s’associent avec les banques qui sont en back office. Le cas de Maroc Télécom au Maroc, allié avec deux groupes bancaires qui n’apparaissent pas au premier plan dans l’offre m-banking, est évoqué en filigrane. Ici, dans ce cas marocain, l’initiative ne vient pas de la banque mais de l’opérateur. Le banquier paye son attentisme en servant de simple support réglementaire et technique à un produit émanant de l’opérateur téléphonique.

Au Kenya aussi, c’est l’opérateur Safaricom (M Pesa) qui avait commencé le m-banking en 2007. C’est par la suite que la Banque centrale est intervenue pour réguler, à la demande pressante des banques. En France, les banques et les opérateurs n’ont accepté de travailler ensemble qu’après avoir constaté que d’autres concurrents, venus d’au-delà des frontières, pouvaient le faire à leur place. Dans la zone Uemoa de l’Afrique de l’Ouest, la banque a tendance à tout laisser entre les mains de l’opérateur. C’est simple, c’est facile. Seulement, attention aux lendemains qui déchantent... Rien ne garantit à la banque que dans un avenir proche le législateur ne revienne sur sa décision de continuer à lui garantir le monopole de la collecte d’épargne. Mais quelque soit l’ingéniosité de l’opérateur téléphonique, il aura besoin de la banque. En Afghanistan, Vodafone a voulu reproduire la success story du Kenya sans succès, faute d’un large réseau d’acceptation.

Dossier réalisé par Adama Wade, en marge du salon Carte Afrique. Marrakech 2011

Voir Aussi :

La banque du futur déjà à l’horizon
La banque du futur déjà à l’horizon
« Les banques centrales africaines doivent être à l’écoute des innovations technologiques »
Le m-banking ou comment marier la banque aux télécoms
Maroc : Le réseau télécoms d'Attijariwafa Bank confié à un opérateur indien
DFCU Bank et Ouganda Telecom lancent le service de transfert d'argent mobile
Le Maroc bascule dans le M-Banking
Echos du salon de la monétique
MTN lance le service de banque sur téléphone mobile
Nedjma élu meilleur opérateur mobile de l'Afrique du Nord

– Envoyé à l'aide de la barre d'outils Google"

ssow-team

mercredi 11 mai 2011

Le Club positif de Christian Godefroy, Autosuggestion, Auto hypnose et Smei

Le Club positif de Christian Godefroy, Autosuggestion, Auto hypnose et Smei: "Vous valez 100 fois plus que vous ne le pensez.
Voici comment utiliser les 90 % de potentiel
qui sont cachés en vous.
L''adhésion au club est gratuite et sans obligation.
Dans 3 minutes, vous pouvez recevoir des livres et des textes de motivation et
d'inspiration personnelle à volonté
- et un cadeau de bienvenue vous est réservé (voyez plus bas)

ebook téléchargement: bio de Ch. Godefroy

Qui est Christian Godefroy ?
Bienvenue

«Une vieille légende hindoue raconte qu'il y eut un temps où tous les hommes étaient des dieux. Mais ils abusèrent tellement de leur divinité que Brahma, le maître des dieux, décida de leur ôter le pouvoir divin et de le cacher à un endroit où il leur serait impossible de le retrouver. Le grand problème fut donc de lui trouver une cachette.

Lorsque les dieux mineurs furent convoqués à un conseil pour résoudre ce problème, ils proposèrent ceci : 'Enterrons la divinité de l'homme dans la terre.' Mais Brahma répondit : 'Non, cela ne suffit pas, car l'homme creusera et la trouvera.'

Alors les dieux répliquèrent : 'Dans ce cas, jetons la divinité dans le plus profond des océans.'

Mais Brahma répondit à nouveau : 'Non, car tôt ou tard, l'homme explorera les profondeurs de tous les océans, et il est certain qu'un jour, il la trouvera et la remontera à la surface.'

Alors les dieux mineurs conclurent : 'Nous ne savons pas où la cacher car il ne semble pas exister sur terre ou dans la mer d'endroit que l'homme ne puisse atteindre un jour.'

Alors Brahma dit : 'Voici ce que nous ferons de la divinité de l'homme : nous la cacherons au plus profond de lui-même, car c'est le seul endroit où il ne pensera jamais à chercher.'

Depuis ce temps-là, conclut la légende, l'homme a fait le tour de la terre, il a exploré, escaladé, plongé et creusé, à la recherche de quelque chose qui se trouve en lui. » (Eric Butterworth, Découvre la puissance en toi)

Si vous appréciez cette histoire d'inspiration personnelle, lisez-en chaque semaine en vous abonnant à notre Club Positif. Il n'y a aucune obligation, pas d'idéologie sectaire, et c'est certainement la meilleure source de développement personnel libre et gratuite du web ! Cliquez ici pour vous abonner gratuitement maintenant.

– Envoyé à l'aide de la barre d'outils Google"

ssow-team

Le Club positif de Christian Godefroy, Autosuggestion, Auto hypnose et Smei

Le Club positif de Christian Godefroy, Autosuggestion, Auto hypnose et Smei: "Vous valez 100 fois plus que vous ne le pensez.
Voici comment utiliser les 90 % de potentiel
qui sont cachés en vous.
L''adhésion au club est gratuite et sans obligation.
Dans 3 minutes, vous pouvez recevoir des livres et des textes de motivation et
d'inspiration personnelle à volonté
- et un cadeau de bienvenue vous est réservé (voyez plus bas)

ebook téléchargement: bio de Ch. Godefroy

Qui est Christian Godefroy ?
Bienvenue

«Une vieille légende hindoue raconte qu'il y eut un temps où tous les hommes étaient des dieux. Mais ils abusèrent tellement de leur divinité que Brahma, le maître des dieux, décida de leur ôter le pouvoir divin et de le cacher à un endroit où il leur serait impossible de le retrouver. Le grand problème fut donc de lui trouver une cachette.

Lorsque les dieux mineurs furent convoqués à un conseil pour résoudre ce problème, ils proposèrent ceci : 'Enterrons la divinité de l'homme dans la terre.' Mais Brahma répondit : 'Non, cela ne suffit pas, car l'homme creusera et la trouvera.'

Alors les dieux répliquèrent : 'Dans ce cas, jetons la divinité dans le plus profond des océans.'

Mais Brahma répondit à nouveau : 'Non, car tôt ou tard, l'homme explorera les profondeurs de tous les océans, et il est certain qu'un jour, il la trouvera et la remontera à la surface.'

Alors les dieux mineurs conclurent : 'Nous ne savons pas où la cacher car il ne semble pas exister sur terre ou dans la mer d'endroit que l'homme ne puisse atteindre un jour.'

Alors Brahma dit : 'Voici ce que nous ferons de la divinité de l'homme : nous la cacherons au plus profond de lui-même, car c'est le seul endroit où il ne pensera jamais à chercher.'

Depuis ce temps-là, conclut la légende, l'homme a fait le tour de la terre, il a exploré, escaladé, plongé et creusé, à la recherche de quelque chose qui se trouve en lui. » (Eric Butterworth, Découvre la puissance en toi)

Si vous appréciez cette histoire d'inspiration personnelle, lisez-en chaque semaine en vous abonnant à notre Club Positif. Il n'y a aucune obligation, pas d'idéologie sectaire, et c'est certainement la meilleure source de développement personnel libre et gratuite du web ! Cliquez ici pour vous abonner gratuitement maintenant.

Pensez-y un instant...

... Y a-t-il des matins où vous manquez d'enthousiasme ? Y a-t-il des jours où vous vous demandez ' Où vais-je ? Cela en vaut-il la peine ? Comment m'en sortir ? Comment être plus heureux ? '

De nombreuses personnes se sont posé avant vous ces questions. Certains ont trouvé des solutions ou des réponses. Maîtres spirituels, thérapeutes, sages, écrivains, philosophes, ou personnes comme vous et moi vont vous aider à :
Cliquer Ici


– Envoyé à l'aide de la barre d'outils Google"

ssow-team

samedi 7 mai 2011

Disc 2011 05 02



ssow-team

Business reference website providing news articles directory internet search.

Business reference website providing news articles directory internet search.: "4 Simple Steps to Successful Delegation
By Inez Ng

Copyright 2005 Inez Ng

Last month, my featured article was about creating a “Stop Doing” list. Hopefully, if you followed my suggestion, you now have a list of tasks that you are looking to delegate away. It seems a natural progression that I now disclose a few simple steps that will ensure your foray into delegation is a success.

1. Choose the right “delegatee”

Review the task and determine what skills are required. Delegation goes much more smoothly if you match the person with the appropriate skill set to the task you have to assign. Now if you don’t have a candidate that has all the skills you are looking for, decide which is the most critical one (analytical ability, attention to detail, communications skills) and make that match.

One of the rewards of delegation is the opportunity to help someone develop and grow. It is unlikely that you will always have a candidate that you can hand off something to and not have to provide some training or coaching. But learning to empower your employees will reap big rewards as their confidence grows with their abilities, and delegation becomes easier and easier, and your “Stop Doing” list gets longer and longer.


2. State your expectations clearly

When you assign a task, be very clear about the deliverables you expect, and qualify your expectations as much as possible. As a minimum, you need to communicate the “what” and the “when”. For example: “I want these invoices entered into my database by 5pm tomorrow”. Then, start adding qualifications to your request, such as: “Please make sure that the expense categories are correct, and if you are unsure, ask me and I will clarify for you because I want the reports to be accurate.”

In addition to communicating about the “what” and “when” of an assignment, I recommend that you also include information on the “why”. For example: “I need the monthly recap report done by 5pm tomorrow because I have a meeting with client X the following morning and need the information, so it is really critical that I have it.” Often, we assume that others should know what we expect. But if you have a new working relationship with someone, that is probably an unfair expectation. So, take a few minutes to think about what you need to communicate to save both of you a lot of aggravation, and possibly rework.


3. Choose an appropriate oversight level

No one wants to work for a micro-manager, but some managers are too hands-off when it is inappropriate. Note the skills and experience level of your employee and adjust your oversight level accordingly. The first couple of times they handle a complicated task, you may want to check in more frequently. After a few months, you could probably ease off on your involvement as their knowledge and confidence increases.


4. Provide feedback effectively and often

Once in a while, we get really lucky and have someone supporting us who does things perfectly the first time. But that scenario doesn’t happen too often. However, we can get the employee to the perfection level by providing appropriate feedback. Tell them very specifically what they did well (“Your accuracy is great. I rarely, if ever, find a mistake in your work. Keep it up.”), and what they need to improve on (“I really needed the monthly recap report for Company X done yesterday. I had a meeting with them this morning, and was not able to provide them with the latest information. That reflects poorly on my service. I need you to let me know when you cannot meet a deadline I have given you. Will you do that?”)

Specific, constructive feedback is the most effective way to improve performance. Even if you have a “star” employee, you still need to provide the feedback so that they will maintain their high level of performance. Work on giving more positive feedback. If the only time you provide feedback is when you are unhappy, your employees are not going to be very eager to talk with you.

Follow these simple steps and dive right into delegation. As you become more successful in delegating, you will feel more confident in adding to your “Stop Doing” list. Then use your time on something much more impactful for your business, or much more pleasurable for you.


About the author:
Leadership coach Inez Ng helps busy professionals and entrepreneurs get better results quickly. Learn more about coaching with her at http://www.realizationsunltd.com Wantto learn how to spend less time managing email? Check out her ebook at http://www.easyemailstrategies.com


– Envoyé à l'aide de la barre d'outils Google"